Europe/
Note abrégée sur le commerce Québec-Royaume-Uni
L'économie britannique
1. Nombre d'unités de livres sterling par dollar canadien sur une moyenne de 250 jours en 2017. Sources : Fonds monétaire international (FMI), Banque du Canada et Organisation mondiale du commerce (OMC). Compilation: Direction des politiques et analyse économiques, ministère de l'Économie, de la Science et de l'Innovation (MESI), juin 2018. | |
Population (en millions) | 66,1 |
---|---|
PIB (en milliards de dollars américains courants) | 2 624,5 |
PIB par habitant (en dollars américains courants) | 39 734,6 |
Taux de croissance du PIB réel (%) | 1,5 |
Taux d'inflation (%) | 2,7 |
Taux de chômage (%) | 4,4 |
Taux de change1 | 0,5981 |
Exportations de marchandises et services (en milliards de dollars américains courants) | 770,0 |
Importations de marchandises et services (en milliards de dollars américains courants) | 846,0 |
Le contexte économique
L'économie du Royaume-Uni a connu une croissance régulière et constante depuis la fin de la crise mondiale de 2008-2009. Celle-ci a été particulièrement forte entre 2011 et 2015. Au cours de cette période, le taux annuel moyen de la croissance du produit intérieur brut (PIB) a été de 2,1 % (avec un sommet à 3,05 % en 2014). Ces bons résultats sont dans une large mesure attribuables à l'environnement économique favorable, à la grande confiance des consommateurs et des investisseurs, à une politique monétaire accommodante et à l'importante marge de manœuvre budgétaire que se sont donnée les autorités (des déficits sont permis à court terme). Il importe cependant de noter que cette croissance a été portée par la consommation plutôt que par l'investissement.
Toutefois, la sortie prochaine de l'Union européenne (« Brexit »), prévue pour mars 2019, a créé un climat d'incertitude qui a réduit l'investissement privé. Cette incertitude a entraîné un ralentissement de la croissance économique en 2016 (1,8 %) et en 2017 (1,5 %) et elle pousse de plus en plus à la relocalisation de certaines activités économiques à l'étranger.
Malgré ce contexte de croissance économique modérée, le taux d'emploi est élevé, grâce à une grande flexibilité du marché du travail et à l'offre abondante de main-d'œuvre. Quant à l'inflation, son taux, qui avait atteint en 2015 son plus bas niveau des cinq dernières années (2011-2015) à 0,04 %, a recommencé à monter en raison de la dépréciation de la livre sterling causée par l'absence de clarté et l'incertitude entourant les futures relations commerciales entre le Royaume-Uni et l'Union européenne (UE 28).
Les finances publiques se sont tout de même améliorées. Le déficit budgétaire a diminué et la dette publique s'est stabilisée.
En 2017, selon les données de l'OCDE, l'économie du Royaume-Uni affichait :
- un taux de croissance du PIB réel de 1,5 %;
- un taux de chômage de 4,4 %;
- un taux d'inflation de 2,7 %.
Cette même année, le PIB du Royaume-Uni représentait 2,3 % du PIB mondial, 5,9 % de celui des pays industrialisés et 14,9 % de celui de l'UE-28, ce qui en faisait la 5e économie au monde derrière l'Allemagne et devant la France, et la 2e de l'Europe1.
Les perspectives de croissance de l'économie du Royaume-Uni restent fortement liées aux conditions du « Brexit ».
Selon les prévisions de l'OCDE, les perspectives de croissance pour l'économie du Royaume-Uni devraient s'établir à 1,2 % en 2018 et à 1,1 % en 2019.
Le principal défi pour les périodes à venir demeure la mise en œuvre à coût minimum du « Brexit ». Il s'agira, entre autres, de réussir à conclure des accords de libre-échange globaux avec le bloc commercial européen (ce qui reste de l'UE-28) et d'autres pays d'Europe. Les autres défis économiques sont intérieurs et structurels tels que la faible productivité. Il s'agit par conséquent de renforcer la productivité et la compétitivité, surtout du secteur exportateur.
Le commerce de marchandises entre le Québec et le Royaume-Uni2
L'évolution des échanges
En 2017, les échanges commerciaux de marchandises entre le Québec et le Royaume-Uni se chiffraient à 4,9 G$, ce qui représentait 18,5 % de la valeur des échanges entre le Canada et le Royaume-Uni ainsi qu'une hausse de 3,1 % par rapport à l'année 2016.
Cette hausse s'explique principalement par l'augmentation de la valeur des importations (+149,1 M$), car celle des exportations est demeurée quasi inchangée : 1 341,3 M$ en 2016 contre 1 340,7 M$ en 2017.
Cette même année, le Royaume-Uni était le 2e partenaire commercial du Québec en Europe, derrière l'Allemagne et devant la France et son 5e partenaire à l'échelle internationale derrière :
- les États Unis;
- la Chine;
- le Mexique;
- l'Allemagne.
Au cours de la période 2013-2017, la croissance annuelle moyenne de la valeur des échanges a été positive (+5,1 %).
Toujours en 2017, la valeur des échanges commerciaux de marchandises entre le Québec et le Royaume-Uni correspondait à 34 % de celle des échanges avec la Chine et à 82 % de celle des échanges avec l'Allemagne.
2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |
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* Les chiffres étant arrondis, leur somme peut ne pas correspondre au total indiqué. Sources : Statistique Canada et Institut de la statistique du Québec. Compilation : Direction des politiques et de l'analyse économiques, MESI, juin 2018. | |||||
Exportations | 875,9 | 1 462,4 | 1 443,6 | 1 341,3 | 1 340,7 |
Importations | 3 893,5 | 3 302,4 | 2 923,7 | 3 417,4 | 3 567,1 |
Commerce total* | 4 769,4 | 4 764,8 | 4 367,3 | 4 758,7 | 4 907,8 |
Les exportations
En 2017, la valeur des exportations du Québec vers le Royaume-Uni s'établissait à 1 340,7 M$, comparativement à 1 341,3 M$ en 2016, soit une baisse de 0,6 M$ par rapport à l'année 2016. Cette baisse découlait principalement de la diminution :
- des exportations d'avions, d'hélicoptères et d'autres véhicules aériens ou spatiaux (−84,2 M$);
- de parties d'avions, d'hélicoptères et d'autres véhicules aériens (−6,3 M$);
- de papier journal en rouleaux ou en feuilles (−17 M$).
Cette même année, la valeur des exportations québécoises à destination du Royaume-Uni correspondait à 7,6 % de la valeur des exportations canadiennes vers ce pays.
En 2017, le Royaume-Uni était le 2e client du Québec en Europe et son 5e client international pour ce qui est des exportations de marchandises.
Toujours en 2017, les dix principaux produits du Québec exportés vers le Royaume-Uni étaient les suivants :
- les avions, hélicoptères et autres véhicules aériens ou spatiaux (16,1 % du total);
- les parties d'avions, d'hélicoptères et d'autres véhicules aériens (10,1 %);
- les huiles de pétrole raffinées (6,0 %);
- les simulateurs de vol et leurs parties (5,8 %);
- le papier journal en rouleaux ou en feuilles (5,6 %);
- les cendres et les résidus contenant du métal ou des composés métalliques (4,1 %);
- les turboréacteurs, les turbopropulseurs et les autres turbines à gaz (3,2 %);
- les appareils pour la téléphonie (1,9 %);
- les instruments et les appareils pour les analyses physiques ou chimiques (1,8 %);
- le platine, sous forme brute ou mi-ouvrée ou en poudre (1,8 %).
Les dix principaux produits québécois exportés vers le Royaume-Uni représentaient 56,4 % des exportations du Québec vers ce pays.
Le contenu en technologie des exportations de biens manufacturés du Québec vers ce pays se répartissait comme suit :
- les produits de haute technologie (45,7 %);
- les produits de moyenne-faible technologie (19,9 %);
- les produits de faible technologie (17,5 %);
- les produits de moyenne-haute technologie (16,9 %).
Au cours de la période 2013-2017, les produits de haute technologie ont dominé les exportations de marchandises du Québec vers le Royaume-Uni.
Les importations
En 2017, la valeur des biens dédouanés au Québec en provenance du Royaume-Uni s'établissait à 3 567,1 M$, ce qui représentait une hausse de 4,4 % par rapport à l'année précédente. Cette augmentation était liée à la hausse des importations :
- de médicaments présentés sous forme de doses (+166,9 M$);
- d'huiles brutes de pétrole (+77,6 M$);
- d'huiles de pétrole raffinées (+62,1 M$);
- de turboréacteurs, de turbopropulseurs et d'autres turbines à gaz (+47,5 M$).
Cette même année, la valeur des importations du Québec en provenance du Royaume-Uni correspondait à 40,1 % de la valeur des importations canadiennes en provenance de ce pays.
Le Royaume-Uni était, par ailleurs, le 2e fournisseur du Québec en Europe et son 5e fournisseur à l'échelle internationale pour ce qui est des importations de biens.
Toujours en 2017, les dix principaux produits importés au Québec en provenance du Royaume-Uni étaient les suivants :
- les parties d'avions, d'hélicoptères et d'autres véhicules aériens (22,8 % du total);
- les huiles de pétrole raffinées (12,2 %);
- les turboréacteurs, les turbopropulseurs et les autres turbines à gaz (10,7 %);
- les voitures de tourisme et les autres types de véhicules (10,3 %);
- les médicaments présentés sous forme de doses (7,8 %);
- les huiles brutes de pétrole (4,4 %);
- l'argent sous forme brute, mi-ouvrée ou en poudre (4,3 %);
- l'alcool éthylique (moins de 80 % par volume); les eaux-de-vie et les liqueurs (1,0 %);
- les tracteurs (0,8 %);
- les journaux et les publications périodiques imprimés (0,7 %).
Les dix principaux produits britanniques importés au Québec représentaient 75,0 % des importations totales de biens dédouanés au Québec en provenance du Royaume-Uni.
Le contenu technologique des importations québécoises de biens manufacturés en provenance du Royaume-Uni se présentait comme suit :
- les produits de haute technologie (45,7 %);
- les produits de moyenne-faible technologie (24,2 %);
- les produits de moyenne-haute technologie (23,6 %);
- les produits de faible technologie (4,4 %).
Au cours de la période 2013−2017, les produits de haute technologie ont dominé les importations totales de biens dédouanés au Québec en provenance du Royaume-Uni.
Les sociétés et les investissements sous contrôle étranger3
En 2017, le nombre de filiales d'entreprises du Royaume-Uni établies au Québec s'élevait à 1404. Ce nombre représentait 15,3 % des filiales du Royaume-Uni établies au Canada (916 filiales). Le Royaume-Uni se situait ainsi au 3e rang quant au nombre de sociétés étrangères établies au Québec, derrière les États Unis (746) et la France (334).
Les données touristiques5
De 2009 à 2014, l'évolution du nombre de touristes britanniques au Québec a connu de nombreuses fluctuations. En 2014, ce nombre était de 110 500, en baisse de 0,8 % par rapport à 2013, année durant laquelle ce nombre avait plutôt enregistré une forte hausse de 13,2 % par rapport à l'année 2012.
Entre 2009 et 2014, les dépenses totales des touristes britanniques au Québec ont montré une tendance haussière, à l'exception de l'année 2011 durant laquelle elles ont baissé. Elles sont passées de 77,2 M$ en 2009 à 94,3 M$ en 2014 (avec une seule baisse, en 2011, à 78,4 M$).
En 2014, le nombre de touristes québécois au Royaume-Uni a nettement augmenté pour s'établir à 74 000, ce qui représente une hausse de 38,3 %, soit bien au-dessus de la moyenne enregistrée au cours de la période 2009-2014. Cette moyenne s'établissait à 58 467 touristes.
Les dépenses totales des touristes québécois au Royaume-Uni ont été caractérisées par des alternances de hausses et de baisses au cours de la période 2009-2014. Toutefois, elles ont connu une hausse très importante en 2014 avec un montant de 105,2 M$ comparativement à 60,1 M$ l'année précédente, soit une hausse de 75,1 %.
Annexe
Tableau I
2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |
---|---|---|---|---|---|
* Les totaux peuvent ne pas être égaux à la somme de leurs composantes à cause des arrondis. Sources : Statistique Canada et Institut de la statistique du Québec. Compilation : Direction des politiques et de l'analyse économiques, MESI, juin 2018. | |||||
Exportations de biens | 876 | 1 462 | 1 444 | 1 341 | 1 341 |
Importation de biens | 3 893 | 3 302 | 2 924 | 3 417 | 3 567 |
Échanges totaux* | 4 769 | 4 765 | 4 367 | 4 759 | 4 908 |
Tableau II
Description des produits Classification SH4 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | |
* Les totaux peuvent ne pas être égaux à la somme de leurs composantes à cause des arrondis. Sources : Statistique Canada et Institut de la statistique du Québec. Compilation : Direction des politiques et de l'analyse économiques, MESI, juin 2018. | ||||||||||
Avions, hélicoptères et autres véhicules aériens ou spatiaux | 112,1 | 12,8 | 354,4 | 24,2 | 273,9 | 19,0 | 300,5 | 22,4 | 216,3 | 16,1 |
Parties d'avions, d'hélicoptères et d'autres véhicules aériens | 90,0 | 10,3 | 115,8 | 7,9 | 151,2 | 10,5 | 141,6 | 10,6 | 135,3 | 10,1 |
Huiles de pétrole raffinées | 0,1 | 0,0 | 0,1 | 0,0 | 0,1 | 0,0 | 52,1 | 3,9 | 80,7 | 6,0 |
Simulateurs de vol et leurs parties | 14,3 | 1,6 | 41,1 | 2,8 | 31,7 | 2,2 | 20,2 | 1,5 | 77,4 | 5,8 |
Papier journal en rouleaux ou en feuilles | 24,8 | 2,8 | 64,6 | 4,4 | 90,1 | 6,2 | 91,6 | 6,8 | 74,6 | 5,6 |
Cendres et résidus contenant du métal ou des composés métalliques | 44,1 | 5,0 | 62,8 | 4,3 | 70,0 | 4,8 | 34,7 | 2,6 | 55,2 | 4,1 |
Turboréacteurs, turbopropulseurs et autres turbines à gaz | 49,3 | 5,6 | 42,9 | 2,9 | 47,8 | 3,3 | 40,8 | 3,0 | 42,4 | 3,2 |
Appareils pour la téléphonie | 6,4 | 0,7 | 9,4 | 0,6 | 15,6 | 1,1 | 19,1 | 1,4 | 25,8 | 1,9 |
Instruments et appareils pour les analyses physiques ou chimiques | 15,0 | 1,7 | 14,2 | 1,0 | 10,8 | 0,8 | 13,1 | 1,0 | 24,6 | 1,8 |
Platine, sous forme brute ou mi-ouvrée ou en poudre | 76,9 | 8,8 | 72,3 | 4,9 | 30,5 | 2,1 | 4,3 | 0,3 | 24,1 | 1,8 |
10 principaux produits ci-dessus* | 432,9 | 49,4 | 777,4 | 53,2 | 721,6 | 50,0 | 718,0 | 53,5 | 756,3 | 56,4 |
Autres produits* | 443,0 | 50,6 | 684,9 | 46,8 | 722,0 | 50,0 | 623,4 | 46,5 | 584,4 | 43,6 |
Total* | 875,9 | 100,0 | 1 462,4 | 100,0 | 1 443,6 | 100,0 | 1 341,3 | 100,0 | 1 340,7 | 100,0 |
Québec/Canada | 6,3 | 9,6 | 9,0 | 7,8 | 7,6 |
Tableau III
Description des produits Classification SH4 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | |
* Les totaux peuvent ne pas être égaux à la somme de leurs composantes à cause des arrondis. Sources : Statistique Canada et Institut de la statistique du Québec. Compilation : Direction des politiques et de l'analyse économiques, MESI, juin 2018. | ||||||||||
Parties d'avions, d'hélicoptères et d'autres véhicules aériens | 639,6 | 16,4 | 600,3 | 18,2 | 706,5 | 24,2 | 873,5 | 25,6 | 814,2 | 22,8 |
Huiles de pétrole raffinées | 465,6 | 12,0 | 604,9 | 18,3 | 201,5 | 6,9 | 371,4 | 10,9 | 433,5 | 12,2 |
Turboréacteurs, turbopropulseurs et autres turbines à gaz | 443,3 | 11,4 | 433,5 | 13,1 | 438,3 | 15,0 | 332,4 | 9,7 | 379,9 | 10,7 |
Voitures de tourisme et autres types de véhicules | 141,8 | 3,6 | 173,5 | 5,3 | 233,8 | 8,0 | 319,9 | 9,4 | 366,9 | 10,3 |
Médicaments présentés sous forme de doses | 139,0 | 3,6 | 68,1 | 2,1 | 59,4 | 2,0 | 110,1 | 3,2 | 277,0 | 7,8 |
Huiles brutes de pétrole | 907,6 | 23,3 | 175,9 | 5,3 | 57,4 | 2,0 | 80,1 | 2,3 | 157,7 | 4,4 |
Argent sous forme brute, mi-ouvrée ou en poudre | 90,5 | 2,3 | 107,4 | 3,3 | 160,4 | 5,5 | 361,6 | 10,6 | 154,6 | 4,3 |
Alcool éthylique (moins de 80 % par vol.), eaux-de-vie, liqueurs. etc. | 27,4 | 0,7 | 28,3 | 0,9 | 32,0 | 1,1 | 33,2 | 1,0 | 36,7 | 1,0 |
Tracteurs | 31,6 | 0,8 | 37,2 | 1,1 | 37,5 | 1,3 | 29,6 | 0,9 | 28,1 | 0,8 |
Journaux et publications périodiques, imprimés | 31,3 | 0,8 | 28,7 | 0,9 | 24,1 | 0,8 | 23,2 | 0,7 | 25,3 | 0,7 |
10 principaux produits ci-dessus* | 2 917,8 | 74,9 | 2 257,7 | 68,4 | 1 950,9 | 66,7 | 2 534,9 | 74,2 | 2 673,8 | 75,0 |
Autres produits* | 975,7 | 25,1 | 1 044,8 | 31,6 | 972,8 | 33,3 | 882,4 | 25,8 | 893,3 | 25,0 |
Total* | 3 893,5 | 100,0 | 3 302,4 | 100,0 | 2 923,7 | 100,0 | 3 417,4 | 100,0 | 3 567,1 | 100,0 |
Québec/Canada | 46,2 | 35,9 | 31,8 | 41,4 | 40,1 |
Tableau IV
Niveau de technologie | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | |
* Les totaux peuvent ne pas être égaux à la somme de leurs composantes à cause des arrondis. Sources : Statistique Canada et Institut de la statistique du Québec. Compilation : Direction des politiques et de l'analyse économiques, MESI, juin 2018. | ||||||||||
Haute technologie | 356,5 | 43,9 | 713,1 | 52,1 | 742,8 | 54,8 | 691,1 | 54,8 | 569,2 | 45,7 |
Moyenne-haute technologie | 116,0 | 14,3 | 237,6 | 17,4 | 220,0 | 16,2 | 172,1 | 13,6 | 210,4 | 16,9 |
Moyenne-faible technologie | 187,6 | 23,1 | 218,0 | 15,9 | 166,9 | 12,3 | 157,7 | 12,5 | 247,5 | 19,9 |
Faible technologie | 152,6 | 18,8 | 200,6 | 14,7 | 226,6 | 16,7 | 240,5 | 19,1 | 217,2 | 17,5 |
Total manufacturier* | 812,7 | 100,0 | 1 369,4 | 100,0 | 1 356,3 | 100,0 | 1 261,4 | 100,0 | 1 244,3 | 100,0 |
Tableau V
Niveau de technologie | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | |
* Les totaux peuvent ne pas être égaux à la somme de leurs composantes à cause des arrondis. Sources : Statistique Canada et Institut de la statistique du Québec. Compilation : Direction des politiques et de l'analyse économiques, MESI, juin 2018. | ||||||||||
Haute technologie | 1 410,5 | 49,9 | 1 261,0 | 42,7 | 1 268,7 | 47,6 | 1 386,4 | 44,4 | 1 536,8 | 47,9 |
Moyenne-haute technologie | 601,4 | 21,3 | 678,9 | 23,0 | 717,6 | 26,9 | 709,0 | 22,7 | 755,8 | 23,6 |
Moyenne-faible technologie | 704,8 | 25,0 | 892,5 | 30,2 | 547,5 | 20,5 | 901,0 | 28,8 | 775,1 | 24,2 |
Faible technologie | 107,2 | 3,8 | 121,6 | 4,1 | 132,6 | 5,0 | 127,4 | 4,1 | 141,3 | 4,4 |
Total manufacturier* | 2 823,9 | 100,0 | 2 954,0 | 100,0 | 2 666,4 | 100,0 | 3 123,8 | 100,0 | 3 208,9 | 100,0 |
Données sur les échanges touristiques entre le Québec et le Royaume-Uni, 2009-2014
Tableau VI
Année | Nombre | Variation (%) | Dépenses ($) | Variation (%) |
---|---|---|---|---|
* Données fournies à titre indicatif et à utiliser avec réserve. Touristes : personnes qui ont fait un voyage d'une nuit ou plus, mais d'une durée de moins d'un an, à l'extérieur de leur ville et qui ont utilisé de l'hébergement commercial ou privé. Sources : Statistique Canada. Compilation de Tourisme Québec, Direction des connaissances stratégiques en tourisme, septembre 2017. | ||||
2009 | 87 100 | 77 216 100 | ||
2010 | 86 500 | -0,7 | 81 001 900 | 4,9 |
2011 | 98 800 | 14,2 | 78 369 700 | -3,2 |
2012 | 98,400 | -0,4 | 86 828 700 | 10,8 |
2013 | 111 400 | 13,2 | 89 301 800 | 2,8 |
2014 | 111 500 | -0,8 | 94 259 400 | 5,6 |
Tableau VII
Année | Nombre | Variation (%) | Dépenses ($) | Variation (%) |
---|---|---|---|---|
*Données fournies à titre indicatif et à utiliser avec réserve. Touristes : personnes qui ont fait un voyage d'une nuit ou plus, mais d'une durée de moins d'un an, à l'extérieur de leur ville et qui ont utilisé de l'hébergement commercial ou privé. Sources : Statistique Canada. Compilation de Tourisme Québec, Direction des connaissances stratégiques en tourisme, septembre 2017. | ||||
2009 | 58 400 | 58 959 300 | ||
2010 | 56 300 | -3,6 | 55 443 500 | -6,0 |
2011 | 56 700 | 0,7 | 56 027 800 | 1,1 |
2012 | 51 900 | -8,5 | 53 736 700 | -4,1 |
2013 | 53 500 | 3,1 | 60 075 200 | 11,8 |
2014 | 74 000 | 38,3 | 105 179 800 | 75,1 |
1. Sur la base d'une valorisation du PIB en dollars américains courants.
2. Voir les tableaux I à VI de l'annexe pour des données additionnelles.
3. Source : Statistique Canada, Liens de parenté entre sociétés [CD-ROM], 4e trimestre 2017.
4. Idem.
5. Voir le tableau VI de l'annexe pour plus de détails.