Les agents d’intelligence artificielle deviendront plus sophistiqués en 2025
Selon un article de Forbes énumérant les cinq tendances de l’intelligence artificielle (IA) générative à surveiller en 2025, l’inclusion de la parole et l’interaction en temps réel seraient sur le point de révolutionner l’expérience utilisateur avec les applications d’entreprise.
En effet, alors que des outils comme ChatGPT auraient démontré le potentiel des interactions plus naturelles et intuitives, on prévoit que, bientôt, les agents d’IA comprendront le langage parlé et généreront du contenu audio en temps réel. Il s’agirait d’une percée de taille, car elle permettrait une interaction itérative avec les agents d’IA jusqu’à ce que les utilisateurs arrivent à obtenir le résultat souhaité. Ce type d’interactions plus conviviales et accessibles devrait rendre les applications d’entreprise, dit-on, plus réactives aux besoins des utilisateurs.
Même son de cloche de la part d’observateurs spécialisés, comme Envision, qui anticipent que les assistants d’IA devraient être capables de gérer des tâches de plus en plus complexes en 2025, bien au-delà des requêtes simples. En effet, les assistants d’IA seront en mesure de proposer des solutions pour, par exemple, la planification d’horaires, l’interprétation de graphiques détaillés ou la gestion de grandes quantités de données.
De son côté, CXToday pense que l’IA agentique dépasse les approches déterministes basées sur la compréhension du langage naturel (natural language understanding – NLU) qui avaient du mal à anticiper le contexte ou le sentiment des clients. Cette difficulté se traduisait souvent par des appels génériques mal synchronisés qui suscitaient la frustration des clients. En revanche, les agents d’IA permettraient de s’adapter de manière flexible à la situation.
Par exemple, un agent d’IA pourrait contacter un client au sujet du renouvellement d’un contrat et, à partir de l’analyse des interactions récentes et du contexte, il pourrait personnaliser une nouvelle offre, qu’il s’agisse d’un forfait de fidélisation, d’une suggestion de mise à niveau ou d’un enregistrement proactif.
À ce sujet, notons qu’un article de PYMNTS mentionne que Goldman Sachs a introduit un assistant d’IA pour ses courtiers, banquiers et gestionnaires d’actifs. Selon le directeur des systèmes d’information de cette banque, cet ajout fait partie d’un programme plus vaste d’IA qui adoptera, à terme, les traits d’un employé de Goldman Sachs (GS). Apparemment, l’entreprise aurait, jusqu’à présent, proposé l’assistant GS IA à environ 10 000 employés, poursuivant l’objectif de le rendre disponible à tous les professionnels de l’entreprise cette année.
Selon l’article, dans une première étape, cet assistant d’IA devrait aider les employés dans des tâches, telles que la synthèse ou la relecture de courriels ou la traduction de code d’une langue à une autre. De plus, l’assistant GS serait proposé dans une interface très simple qui donne accès aux données les plus récentes et les plus performantes.
Apparemment, par cette initiative, les trois plus grandes banques d’investissement du monde – Goldman Sachs, Morgan Stanley et JPMorganChase – ont vigoureusement introduit des outils d’IA générative auprès de leurs employés.
Selon un article de Forbes énumérant les cinq tendances de l’intelligence artificielle (IA) générative à surveiller en 2025, l’inclusion de la parole et l’interaction en temps réel seraient sur le point de révolutionner l’expérience utilisateur avec les applications d’entreprise.
En effet, alors que des outils comme ChatGPT auraient démontré le potentiel des interactions plus naturelles et intuitives, on prévoit que, bientôt, les agents d’IA comprendront le langage parlé et généreront du contenu audio en temps réel. Il s’agirait d’une percée de taille, car elle permettrait une interaction itérative avec les agents d’IA jusqu’à ce que les utilisateurs arrivent à obtenir le résultat souhaité. Ce type d’interactions plus conviviales et accessibles devrait rendre les applications d’entreprise, dit-on, plus réactives aux besoins des utilisateurs.
Même son de cloche de la part d’observateurs spécialisés, comme Envision, qui anticipent que les assistants d’IA devraient être capables de gérer des tâches de plus en plus complexes en 2025, bien au-delà des requêtes simples. En effet, les assistants d’IA seront en mesure de proposer des solutions pour, par exemple, la planification d’horaires, l’interprétation de graphiques détaillés ou la gestion de grandes quantités de données.
De son côté, CXToday pense que l’IA agentique dépasse les approches déterministes basées sur la compréhension du langage naturel (natural language understanding – NLU) qui avaient du mal à anticiper le contexte ou le sentiment des clients. Cette difficulté se traduisait souvent par des appels génériques mal synchronisés qui suscitaient la frustration des clients. En revanche, les agents d’IA permettraient de s’adapter de manière flexible à la situation.
Par exemple, un agent d’IA pourrait contacter un client au sujet du renouvellement d’un contrat et, à partir de l’analyse des interactions récentes et du contexte, il pourrait personnaliser une nouvelle offre, qu’il s’agisse d’un forfait de fidélisation, d’une suggestion de mise à niveau ou d’un enregistrement proactif.
À ce sujet, notons qu’un article de PYMNTS mentionne que Goldman Sachs a introduit un assistant d’IA pour ses courtiers, banquiers et gestionnaires d’actifs. Selon le directeur des systèmes d’information de cette banque, cet ajout fait partie d’un programme plus vaste d’IA qui adoptera, à terme, les traits d’un employé de Goldman Sachs (GS). Apparemment, l’entreprise aurait, jusqu’à présent, proposé l’assistant GS IA à environ 10 000 employés, poursuivant l’objectif de le rendre disponible à tous les professionnels de l’entreprise cette année.
Selon l’article, dans une première étape, cet assistant d’IA devrait aider les employés dans des tâches, telles que la synthèse ou la relecture de courriels ou la traduction de code d’une langue à une autre. De plus, l’assistant GS serait proposé dans une interface très simple qui donne accès aux données les plus récentes et les plus performantes.
Apparemment, par cette initiative, les trois plus grandes banques d’investissement du monde – Goldman Sachs, Morgan Stanley et JPMorganChase – ont vigoureusement introduit des outils d’IA générative auprès de leurs employés.