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Une longue tradition d’innovation soutenue par des entreprises reconnues mondialement
Le secteur aérospatial québécois se compose de six grands maîtres d’œuvre, d'une quinzaine de partenaires de premier rang (« Tier 1 ») équipementiers et principales entreprises de révision ou d’entretien lourd (« MRO »), ainsi que de 219 fournisseurs (PME). Les maîtres d’œuvre sont :
Plusieurs grandes organisations internationales liées au monde de l’aviation se trouvent à Montréal :
L’un des atouts du Québec est sa situation géographique au cœur au marché nord-américain, le plus important du secteur aérospatial mondial. On trouve ainsi au Canada et aux États-Unis des usines d’assemblage exploitées par de grands avionneurs, notamment Airbus, Boeing et Bombardier, ainsi que des fabricants actifs dans les domaines de l’aviation d’affaires, des moteurs, des hélicoptères et de l’industrie spatiale, notamment.
Un écosystème d’entreprises de petite et grande envergure à plusieurs étapes de la chaîne de valeur
On trouve au Québec, et en particulier dans la grande région de Montréal, une réelle communauté aérospatiale qui s’est structurée au fil des ans autour des forces de ses intervenants. Parmi eux :
Une main-d’œuvre multilingue, qualifiée et stable
La richesse première du secteur québécois de l’aérospatiale est sans contredit sa main‑d’œuvre qualifiée. Elle bénéficie d’une formation de qualité et de haut niveau offerte par des universités, des collèges et des écoles de métiers bien au fait des besoins du secteur et de l’évolution du marché mondial.
Un secteur basé sur le savoir, la créativité et l’innovation
L’innovation représente une condition essentielle à la compétitivité du secteur, et le Québec est bien déterminé à exploiter pleinement ses ressources à ce chapitre, afin de profiter de la croissance future de la demande au sein du secteur aérospatial. Appuyés par des organismes clés, tels que le CRIAQ, les intervenants du secteur sont très actifs en matière de R-D, comme en témoigne la part importante des activités canadiennes de R-D en aérospatiale que le Québec réalise.
Fiscalité avantageuse, capital de risque accessible et faibles coûts d’exploitation
Le secteur de l’aérospatiale québécois peut s’appuyer sur une fiscalité incitatrice et sur des coûts d’exploitation avantageux afin d’attirer et d’encourager les investissements. La fiscalité et les coûts d’exploitation constituent des facteurs décisifs lorsque vient le temps pour une entreprise de choisir le lieu d’implantation d’une nouvelle filiale ou de réaliser un projet d’envergure. Sur ces deux plans, le Québec et sa métropole bénéficient d’avantages concurrentiels majeurs.
Dans l’édition biennale la plus récente de son étude Choix concurrentiels1, KPMG classe les villes de Québec et de Montréal aux premier et quatrième rangs quant aux coûts d’exploitation dans le secteur de la fabrication, parmi plusieurs villes du nord-est des États-Unis et du centre du Canada. Toujours dans cette étude, KPMG classe Montréal au troisième rang pour ce qui est de la compétitivité des coûts, à l’échelle des principales villes du monde. Au Canada, Montréal devance Toronto et Vancouver. Dans le classement international, Montréal n’est dépassée que par deux villes mexicaines.
Le Québec offre également des mesures fiscales attrayantes pour les entreprises manufacturières, mesures qui profitent directement au secteur aérospatial. Les principales sont :
1. KPMG, Choix concurrentiels – édition 2016, mars 2016.